Trois girafes dont deux mâles et une femelle, abattues dans la nuit du 12 janvier 2025 par des braconniers près du parc de Zakouma, GREEN CHAD réagit.
Dans un communiqué signé par son Secrétaire Général, Saleh Mahamat Tahir, l’association GREEN-CHAD condamne fermement cette pratique qui selon elle devient de plus en plus courante et appelle le gouvernement à renforcer les lois contre le braconnage et le trafic d’animaux sauvages.
Le braconnage faut-il le souligner réduit les populations animales et limite la diversité génétique, rendant les espèces plus vulnérables aux maladies et aux changements climatiques.
Cette pratique entraîne des conséquences non négligeables sur les communautés locales qui perdent des revenus liés à l’écotourisme et aux ressources durables, pendant que le braconnage alimente des réseaux criminels internationaux.
C’est pourquoi GREEN-CHAD appelle à une action collective des ONG et les communautés locales pour lutter contre le braconnage et ses conséquences dévastatrices en vue de protéger la biodiversité et maintenir l’équilibre des écosystèmes