Depuis son arrivée à la Société Nationale d’Exploitation Minière et de Contrôle (SONEMIC), reconnu pour sa rigueur, son intégrité, son talent en stratégie de maintien de l’ordre et de la gestion des ressources minières, le Général Abdelkérim Charfadine alias Beguera se retrouve aujourd’hui confronté à un défi de propagande par un réseau de groupuscule mafieux dans certains sites aurifères de Kouri-Bougoudi.
Cette zone a été le théâtre de plusieurs conflits intercommunautaires et de la criminalité transnationale organisée avant l’arrivée de Général Abdelkerim Charfadinne à la tête de la SONEMIC. Son arrivée à Kouri bougoudi est marquée par un ordre sécuritaire très organisé, une régularisation et une formalisation pleine sur toutes les activités liées à l’orpaillage.
Les actions de l’actuel Directeur général de la SONEMIC ont permis aux orpailleurs et aux sociétés minières de se retrouver dans des corridors très sécurisés et permettent aujourd’hui à l’évolution des activités de l’orpaillage pour l’intérêt général de toutes les parties impliquées dans l’exploitation aurifère à Kouri-Bouguidi.
Cette zone, longtemps marquée par une insécurité croissante, exacerbée par des groupes criminels armés, a retrouvé sa sécurité grâce aux efforts incessants du Général Abdelkérim Charfadine.
Malheureusement, depuis quelques jours, un groupuscule d’orpailleurs, bénéficiant du soutien clandestin d’acteurs influents basés à N’Djamena, a orchestré une campagne de propagande contre la Société Nationale d’Exploitation Minière et de Contrôle – (SONEMIC). Ce groupuscule d’orpailleurs, autrefois responsable du chaos, d’incitation à la haine et de l’insécurité, voit d’un mauvais œil les initiatives mises en place par la SONEMIC pour réguler l’orpaillage à Kouri-Bougoudi.
La SONEMIC, sous la supervision de son Directeur Général Abdelkérim Charfadine, a pris des mesures importantes pour formaliser et encadrer les activités d’orpaillage. Cela inclut une meilleure gestion des ressources humaines, une régulation stricte des exploitations aurifères, et la création d’un environnement sécurisé pour les mineurs. Cependant, ces réformes perturbent les intérêts économiques d’acteurs clandestins qui bénéficiaient d’un système plus permissif, voire anarchique, dans la zone aurifère ciblée. Le soutien d’un groupuscule d’orpailleurs par des factions bien organisées basées à N’Djamena révèle des tensions internes quant à la répartition des richesses issues de l’exploitation minière.
Cette campagne de propagande contre la SONEMIC pourrait être interprétée comme une tentative de préserver un statu quo favorable à ces acteurs clandestins, au détriment d’une gestion transparente et responsable des ressources naturelles et minières. En s’attaquant directement à la SONEMIC et de son premier responsable, ces groupes mafieux visent à saper la légitimité des réformes et à maintenir un contrôle informel sur l’économie aurifère locale.
Sur le plan sécuritaire, si les actions de propagande et les attaques verbales ciblées ne sont pas maîtrisées, elles pourraient dégénérer en violences, avec des affrontements entre les partisans de la régulation minière et ceux qui s’y opposent. Cela pourrait compliquer davantage les efforts de la SONEMIC pour sécuriser la zone et renforcer la présence de l’État.
Sur le plan économique, les agissements injustifiés de ces acteurs réunis au sein d’un groupuscule propagandiste ont pour seul but d’impacter les efforts de la SONAMIC et de mettre en péril la gestion formelle des activités d’orpaillage, ce qui entraînerait une baisse des revenus pour l’État tchadien et une perte de contrôle sur l’exploitation de l’or. À long terme, cela pourrait inciter à la prolifération de l’orpaillage illégal, avec des conséquences sécuritaires et environnementales désastreuses et l’exploitation non durable des ressources.
En gros, la campagne de ce groupuscule encouragée par des lobbys depuis N’Djamena contre la SONEMIC peut également avoir des répercussions sur la bonne gestion des ressources minières et sociales à Kouri-Bougoudi. Elle risque d’aggraver les divisions entre les communautés des orpailleurs et les autorités militaires en place, tout en fragilisant l’autorité de l’État. Les propagandistes visent à manipuler l’opinion publique, aussi bien locale que nationale, en prétendant que les réformes de la SONAMIC ne profitent pas directement à tous. Un tel climat de défiance envers les institutions nationales pourrait s’ancrer durablement si rien n’est fait pour contrer cette désinformation.
Récemment, des documents confidentiels enregistrés dans les données de la Sonamic ont été publiés sur les réseaux sociaux par les factions mafieuses basées à N’Djamena et qui incitent à la haine et à violence en poussant les les orpailleurs contre la sonamic et l’autorité de l’Etat sur place.
L’acharnement contre la SONAMIC et ses dirigeants doit cesser, non seulement pour assurer la bonne gestion des ressources minières, mais aussi pour préserver la sécurité nationale et la stabilité de Kouri-Bougoudi.
Ces individus qui tentent actuellement de saboter cette régulation doivent être rappelés à l’ordre, de gré ou de force, car leurs agissements sont injustifiés et vont à l’encontre de la gestion centralisée et transparente des ressources minières de Kouri-Bougoudi.
La stratégie de développement mise en place par le Général Charfadine Bèguera, fondée sur une exploitation sécurisée, légale et bien gérée des ressources aurifères, contribue à la stabilité de Kouri-Bougoudi. Son leadership exemplaire au sein de la SONAMIC montre clairement les avantages d’une gestion formelle des activités minières, tant pour le développement économique local que pour la sécurité nationale.